
Le drame s’est déroulé en juillet 2024. Un crash d’ULM avait marqué la commune d’Isle-Saint-Georges, en Gironde. Comme relevé par Sud Ouest, le Bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aviation civile (BEA) est revenu sur cet accident mortel survenu proche de la Garonne. Le rapport final livré par le BEA a pu être consulté par Le Républicain Sud-Gironde. Une rupture de l’aile gauche serait à l’origine de la chute de l’appareil.
Deux personnes décèdent dans le crash
Un peu avant midi, le 18 juillet 2024, un petit avion de type ULM s’écrase dans un champ à Isle-Saint-Georges. À ce moment-là, personne ne sait qui se trouve à l’intérieur ni ne connaît les causes de cet accident tragique.
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Quelques jours après, les victimes sont identifiées. Il s’agit de deux hommes originaires de Gironde et quadragénaires. Un instructeur et son élève pilote. Pour ce qui est des causes, l’enquête a pris plus de temps.
Une attache métallique se casse et brise l’aile
En ce début d’automne 2025, le BEA rend un rapport au sein duquel un scénario potentiel est établi.
Selon le bureau d’enquêtes, après avoir décollé d’Illats, fait un posé-décollé à Saucats, l’avion a longé la Garonne :
Après quelques minutes de vol, l’aile gauche de l’ULM s’est rompue à proximité des fixations des haubans (barres métalliques reliant l’aile à l’appareil).
Pour justifier cette rupture, les spécialistes parlent « d’un dépassement de la contrainte maximale admissible par la structure de l’aile ». Toutefois, ils ne peuvent préciser la nature de ce dépassement. Charges excessives, faiblesse de la structure de l’aile ou les deux ? L’enquête n’a pas pu déterminer précisément cette cause.
Une enquête poussée sur les dommages de l’épave
Quelques secondes après cet incident, l’avion aurait piqué vers le sol. Puis serait entré en collision avec le champ. Choc qui explique les autres dommages de l’épave.
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En effet, toute trace a été étudiée par le BEA pour comprendre lesquels étaient antérieurs au choc final et ainsi déterminer les possibles causes de l’accident.
Enfin, « une consigne de navigabilité interdisant les vols avec des passagers payants » sur les mêmes modèles d’ULM que celui accidenté (modèles P’tit avion et DIDL) sera publiée. Un des objectifs annoncés du BEA étant d’améliorer la sécurité aérienne.
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