À date exceptionnelle, numéro (un peu) exceptionnel : le 2 500e numéro de L’Éveil Normand est sorti « en kiosques », comme on disait autrefois, mais aussi en version numérique, ce mercredi 28 février 2024. Ce numéro vous réserve bien des surprises, dans un cahier central de 12 pages, avec notamment un bon à découper pour vous faire gagner des cadeaux.
Un séjour en Grèce à gagner
En pages centrales donc… vous aurez droit tout d’abord à un jeu-concours. Grâce à notre partenaire Périer voyages, le plus chanceux des participants à ce jeu gagnera un séjour d’une semaine pour deux sur une île grecque, à Rhodes.
Sont à gagner également un spa, un déjeuner-croisière à Paris, deux baptêmes en ULM et deux chèques cadeaux de 50 € pour le restaurant L’Envol. Rendez-vous pour cela en page 28 du journal.
D’autre part, le cahier central vous emmènera dans les coulisses de la fabrication du journal et vous délivrera quelques anecdotes.
Nos lecteurs y auront également la parole. Normal car depuis toujours, ils sont au centre de nos préoccupations.
« L’Éveil, c’est le journal des gouvernés, pas des gouvernants », aimait à ce propos proclamer Bernard Méaulle, à la tête de L’Éveil et de tout le groupe Méaulle pendant plus de 30 ans. Un groupe important puisque déjà dans les années 70, Méaulle était le premier groupe de presse hebdomadaire de France. Or en rejoignant le groupe Publihebdos en 2001, ce leadership ne pouvait plus leur être contesté.
Bernay, fief des Méaulle
Le groupe Méaulle est né à Bernay (Eure), fief de la famille. Le patriarche Henri était imprimeur, son fils Maurice puis ses petits-fils Bernard et Philippe lui ont succédé. Ces derniers, comparés dans le milieu à David, en opposition au Goliath qu’était Robert Hersant (propriétaire d’un puissant groupe de presse) dans les années 70/80 (*), ont vu toutes leurs (nombreuses) offensives couronnées de succès.
L’imprimeur Henri Méaulle ayant racheté L’Avenir de Bernay, ce journal deviendra L’Éveil de Bernay puis L’Éveil Normand. Il passera de 4 à 8 puis 24, 48 et même 60 pages (c’est la moyenne actuelle), les Méaulle ne lésinant pas sur les investissements en matériel, ce qui les poussera à « délocaliser » l’imprimerie de Bernay… à Caorches-Saint-Nicolas. Le site de cette imprimerie, où se trouvaient aussi un centre de composition de maquettes pour le journal, le service comptabilité du groupe, le garage pour le parc automobile… a employé plus de 200 personnes.
Témoin de cette époque, la Bernayenne Ghislaine Cottard se souvient. Celle-ci a été comptable « chez Méaulle » de 1974 à 2001.
J’ai travaillé rue Thiers, là où est aussi l’agence de L’Éveil, on avait par extension des bureaux à côté [là où est actuellement situé le magasin de vêtements Jules] et d’autres place de l’Hôtel Dieu [à l’emplacement du gîte face au restaurant].
Ghislaine a connu les années de rachat de quantité de journaux (Le Réveil Normand, l’Orne combattante, le Journal de l’Orne, l’Impartial, les Informations dieppoises…) et de création d’autres (l’Éveil de Lisieux, l’Éveil de Pont-Audemer, l’Éveil Côte Normande). Elle est partie quand Bernard Méaulle a vendu les journaux du groupe à Publihebdos.
Publihebdos, le défi internet et actu.fr
Depuis ce rachat, L’Éveil a changé, tout en gardant un cap, le dévouement de ses équipes au service des lecteurs.
Ceux-ci ont évolué dans la façon de lire le journal. Certains s’informent en grande partie, d’autres exclusivement, « sur Internet » et donc sur écran. Il leur faut de la fraîcheur, du rythme, du choix… Et donc avec eux, L’Éveil a évolué.
Ci-dessous une présentation du journal faite en 2021 sur la plateau de Radio sensations.
La maquette du journal a changé, son contenu aussi. Comme tout média, nous diffusons aussi beaucoup d’informations sur notre site Internet ; elles sont relayées sur nos réseaux sociaux Facebook, X (ex-Twitter), Instagram et de ce point de vue, actu.fr (la plate-forme qui regroupe tous les journaux du groupe) connaît depuis 2017 un succès fou.
Actu.fr forme aujourd’hui un réseau de cent médias locaux, presse et digital. Un Français sur quatre s’informe sur actu.fr, qui cumule en moyenne près de 100 millions de visites mensuelles sur son site.
Certes la diffusion de nos journaux papier est en baisse, mais la création d’actu.fr a permis de compenser cette perte, le numérique apportant une autre source de revenus. C’est ainsi que L’Éveil peut envisager l’avenir avec une certaine sérénité. Ne rien céder à la qualité de l’information, bien au contraire, tout en diversifiant nos contenus… tel est le défi auquel nous tenons.
Merci à tous de votre fidélité.
Tous les articles « Spécial 2 500e » et notre jeu-concours sont à retrouver en pages centrales du numéro 2 500 de L’Eveil Normand, daté du 28 février 2024.
(*) L’expression est notamment employée par Thierry Bréhier dans un article du Monde daté du 20 novembre 1981, sur « Ces hebdomadaires qui tiennent la campagne »
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