À savoir qu’un département Français est devenu l’exemple-type à ne pas suivre: envahi massivement de raids touristiques aériens, pollué par le bruit jusque dans les endroits censés les refuges et destinations de charme, nature, randonnée (le Parc National inscrit à l’UNESCO le plus bruyant du monde hotspot mondail du loisir aérien, drone hélico et ULM)
Il n’y a plus de douceur de vivre sous les raids aériens menés aussi là où ce n’est pas sur-urbanisé.
Pour aller à la Réunion il vous faut commencer par polluer beaucoup, dégager 2 tonnes de CO2 par siège d’avion pour un aller-retour, et cela pour découvrir une zone désormais dénaturée et anti-écologique, même pas pour voir quelque chose d’authentique…
La question d’impact CO2 que peut se poser un voyageur explique sans doute qu’un “filtre” ne laisse venir ici qu’une forte proportion d’insouciants qui vont jusqu’à négliger les effets de leur voyage et activités et qui dans la foulée s’offrent sans honte ou même sans penser aux dégâts collatéraux une visite en hélico ou ULM dont le vrai problème n’est d’ailleurs pas la pollution par carburant fossile ajoutée (que ce soit 1h15 d’ULM ou 45’ d’hélico plus de 100Kg de CO2 ajouté n’est qu’une “broutille” quand on a déjà émis 2 tonnes…), mais l’agression sonore directe… cumulée plusieurs heures par jour par près d’une centaine de survols interminables au quotidien.
Ce sont les zones sinistrées par du bruit continuel et partout pendant une demi-journée entière d’aéronefs, 300 jours par an…
Quantité: de l’ordre de 150 survols/jour, seulement calmé par les nuages: on n’y entend plus la nature.
La Réunion ne vaut plus le voyage, ce n’est plus qu’un Parc de loisirs, grandeur nature (ce fut un slogan de l’IRT!), rien de plus…
Les chiffres sont difficiles à admettre, mais ceux donnés à une réunion entre associations militantes et la DGAC sont de cet ordre: 66.000 mouvements par an rien que d’hélico en 2022, provoqués par 40 appareils essentiellement dévoués au tourisme sur aéroport 50.000 et hélistation 16.000, ça fait 180 mouvements par jour en moyenne (dont les trajectoires se concentrent là où il ne faut pas: principalement sur les cirques, pitons, remparts, et lagons!), et dans ce chiffre on ne compte pas les mouvements “sauvages” (sur hélisurfaces, terrains privés…) et l’apport des 130 ULM et de quelques avions encore en plus dont certains sont comparables aux hélicos en “usines à touristes” et pollution sonore (en particulier les paramoteurs et autogires!!!)
La situation ne s’améliore pas, on est dans l’hérésie totale, les services de l’état sont aux services des lobbies et non de la population et assurent cette croissance effrénée des loisirs aériens, et à part durant le frein de la crise sanitaire qui n’était que temporaire, il y a toujours plus d’aéronefs et toujours plus de liberté (horaires non limités, tendance à le personnalisation des prestations, plus partout, plus tout le temps), et en plus après le confinement on a ajouté le parachutisme de loisir.
Compte tenu du modèle touristique associé à la notion “d’île INTENSE” vous encouragez en allant à la Réunion un mode de visite d’un territoire ultra-marin doublement nocif.
La question de bruit ajouté plusieurs heures par jour provenant du ciel peut sembler anodine avec le béton, les voitures, les motos… Détrompez vous, cette pollution s’étend là où c’était préservé, retire les connexions à la notion de paix et sérénité: il est là question d’AMBIANCE générale, l’exemple vient d’en haut littéralement et ça change pas mal de choses.
Arrêtez de fantasmer sur l’exotisme, la douceur de vivre, la tolérance, l’ambiance sociale (c’est un pays où règne le racisme anti-zoreil). Ce n’est plus la destination de rêve. C’est fini: la Réunion est dans le sur-tourisme, est de plus en plus surpeuplée, la violence y règne d’autant plus que les habitants manquent de place, qu’il y a une crise identitaire clivant créole/zoreil tourisme/habitant dans une zone où la corruption est “rampante” avec des activités “clivante” menant à l’omerta, la compromission, la soumission, la rancœur et la fausse gentillesse du sourire commercial dans une inégalité sociale croissante avec beaucoup de gentrification… etc, de plus on est encore dans le tout-voiture (sensation d’étouffer, béton, embouteillage… etc)… la nature est dégradée à 90% dénaturée par une flore exotique importée (2017 90% du bien inscrit déclaré irrécupérable par les experts de l’Unesco),
Restez sur le rêve donné par les photos car il est meilleur que la réalité… y aller est long, difficile, et très polluant.
N’y allez que si vous avez une bonne raison, une construction de vie, de la famille car sinon vous avez mieux à voir moins loin, pour moins cher, en polluant moins, et surtout en plus authentique…
C’est pas mal l’expression » tourisme anti – durable » !
Actuellement la tendance est au » tourisme durable » , c’est du pur marketing , ce qu’on voit surtout c’est le tourisme irresponsable et « ‘anti – durable « .
Mais je pense que la plupart des lecteurs de ce forum se moque bien de ces problématiques…
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